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Hotnews24717 févr. 2025
Côte d’Ivoire : Jonny Patcheco fait de nouvelles révélations !

Jonny Patcheco n’en a visiblement pas fini avec les révélations chocs. Cette fois-ci, il s’attaque à une figure emblématique du showbiz ivoirien. Dans une vidéo rapidement devenue virale sur les réseaux sociaux, le cyberactiviste a lancé de graves accusations contre A’Salfo, leader du groupe musical Magic System , concernant la gestion des revenus générés par les œuvres du groupe.

Selon Jonny Patcheco, A’Salfo s’attribuerait la plus grande part des revenus issus des succès du groupe, notamment du célèbre tube « Premier Gaou », qui a marqué toute une génération. Il affirme que les autres membres du groupe n’aurait reçu qu’une infime portion des gains et vivraient dans des conditions précaires.

Toutefois, aucune preuve tangible n’a été présentée pour étayer ces allégations. Malgré l’absence de documents ou de témoignages concrets, Patcheco se montre catégorique dans ses affirmations et assure détenir des informations fiables sur le sujet.

Une campagne de dénonciation qui prend de l’ampleur

A’Salfo n’est pas la première personnalité ivoirienne ciblée par les révélations de Jonny Patcheco. Avant lui, le ministre Adjoumani et l’animatrice Kadhy Touré ont également été cités dans une affaire présumée d’achat de véhicule de luxe.

Jusqu’à présent, aucun des concernés n’a officiellement répondu aux accusations. Cependant, selon des sources concordantes, les autorités auraient été saisies de l’affaire, ce qui pourrait donner une autre tournure à ces révélations.

De son côté, A’Salfo n’a pas encore réagi à ces allégations qui font grand bruit sur la toile.

Police nationale : Rigobert Soro, frère cadet de Guillaume Soro, suspendu, voici les raisons

Rigobert Soro, frère cadet de l’ancien président du Parlement ivoirien, Guillaume Soro, a été suspendu provisoirement de ses fonctions, revèle l'Avenir dans une publication ce dimanche 16 février.

Cette décision fait suite à de graves manquements aux consignes professionnelles. Les faits remontent au mercredi 12 février 2025, lors d’une opération menée à Port-Bouët, dans le quartier Jean-Folly, par le commissaire du 24ᵉ arrondissement et cinq policiers.

Vers 20 heures, sous une forte pluie, l’équipe a fait irruption dans un fumoir à ciel ouvert. Cependant, aucune activité ne s’y déroulait à ce moment-là, contrairement au maquis voisin qui était animé.

Des témoins ont rapporté qu’un policier a effectué un tir de dissuasion sans raison apparente, provoquant la panique dans le quartier. Alors que certains agents poursuivaient des jeunes, un autre policier resté en arrière a tiré à nouveau, blessant accidentellement un collègue à la jambe gauche.

De retour à la base, Rigobert Soro a rédigé un rapport évoquant un échange de tirs, une version rapidement démentie par plusieurs enquêtes et témoignages

Au total, cinq coups de feu ont été tirés. De retour à la base, Rigobert Soro a rédigé un rapport évoquant un échange de tirs, une version rapidement démentie par plusieurs enquêtes et témoignages. Face à ces incohérences, il a été suspendu à titre conservatoire.

Une source interne a souligné que cet usage inapproprié des armes aurait pu avoir des conséquences dramatiques . Le commissaire est accusé de plusieurs infractions, dont un usage abusif d’armes à feu et un manque de traçabilité des agents impliqués.

Un peu plutôt dans la journée, Guillaume Soro, l'ancien chef du Parlement ivoirien avait alerté, sans une publication sur sa page Facebook officielle, sur l’arrestation de son frère cadet. Contrairement aux affirmations de certains de ses partisans sur les réseaux sociaux, cette sanction ne relève pas de la politique mais bien du respect des règles professionnelles.

Accident mortel entre un « Massa » et un livreur

Un accident de la route s'est produit le 16 février 2025 à Adjamé, impliquant un minicar « Massa » et une moto. Deux livreurs à moto ont été victimes de l'accident : l'un est décédé sur place, tandis que l'autre a été gravement blessé et hospitalisé. Selon les témoins, la responsabilité du conducteur du minicar n'est pas engagée, la moto ayant perdu l'équilibre après avoir heurté un nid-de-poule. Ce drame met en lumière l'état dégradé des routes à Abidjan et la nécessité d'améliorations pour éviter de tels accidents à l’avenir.